Il y a cette mode de la productivité : bosser à fond, se lever à 5h du matin, faire du sport, apprendre, progresser et, bien sûr, ne jamais perdre une minute. Ça fait rêver… jusqu’à ce que tu réalises que ton cerveau rêve juste de rester allongé à regarder le plafond, et que tu ne sais même pas comment faire ça.
Il y a cette mode de la productivité : bosser à fond, se lever à 5h du matin, faire du sport, apprendre, progresser et, bien sûr, ne jamais perdre une minute. Ça fait rêver… jusqu’à ce que tu réalises que ton cerveau rêve juste de rester allongé à regarder le plafond, et que tu ne sais même pas comment faire ça.
Si tu te reconnais dans ces signes, il est temps de ralentir, sinon au lieu de grimper les échelons de ta carrière, tu risques le burn-out et la perte de goût pour la vie.
Tu t’assois avec un café et au bout de cinq minutes tu penses déjà : « Je perds mon temps ? ». Chaque seconde sans action utile semble être un crime contre ta mission. Mais le repos n’est pas une récompense pour le travail accompli, c’est une recharge nécessaire sans laquelle tu vas glisser vers la fatigue chronique. Commence par de petites pauses de 5 à 10 minutes. Ne fais rien. Regarde par la fenêtre. Respire.
Tu ouvres les réseaux sociaux — et tout le monde parle de startups, de marathons, de sommets en montagne, pendant que tu te sens comme un débutant paresseux. Le problème, c’est que tu mesures ta progression avec la règle des autres. Coupe-toi des contenus qui te stressent et tiens un journal de petites victoires. Même « j’ai fait le café et je ne l’ai pas oublié » est un succès.
Réveil, boulot, sport, développement personnel, appels… pas une minute pour respirer. Le moindre écart au planning, c’est le stress. La solution ? Laisse au moins 30 minutes de « tampon » entre les tâches. Et oui, une rencontre imprévue avec un ami sans agenda, c’est aussi la vie.
Promenade ? Seulement avec un podcast business. Livre ? Seulement développement personnel. Amis ? Seulement si c’est utile. Essaie de faire quelque chose juste pour le plaisir. Oui, tu peux faire un puzzle ou danser dans ta cuisine sans but. Sérieusement, ton cerveau en a besoin.
File d’attente au magasin ? Faut absolument checker les mails. Métro ? Formation en podcast. Mais le cerveau ne peut pas être en alerte tout le temps. Laisse-le « tourner au ralenti » parfois. C’est comme l’entretien de ta tête — sinon ça finit par buguer.
Tu cherches tellement l’agenda parfait que tu oublies ce qu’il faut vraiment faire. Stop aux optimisations sans fin. Choisis un seul outil, utilise-le un mois, puis passe à l’action, pas aux listes sans fin.
Tu termines un projet, et au lieu de savourer, tu cherches déjà la prochaine cible. Mais sans le sentiment du « je l’ai fait », la motivation meurt. Prends l’habitude : à la fin de la journée, note trois choses dont tu es fier. Même « j’ai trié mes mails » ou « je me suis levé avant le réveil » comptent.
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