Les mots peuvent tuer : 7 phrases à ne jamais dire à ton patron si tu ne veux pas saboter ta carrière

Tu connais la scène : debout près de la machine à café, tasse à la main, le cerveau envahi par des deadlines, des e-mails en retard… et cette fameuse phrase que tu as lancée ce matin à ton boss. Sur le moment, ça te paraissait banal, mais à en juger par son regard, t’aurais peut-être mieux fait de te mordre la langue.

Tu connais la scène : debout près de la machine à café, tasse à la main, le cerveau envahi par des deadlines, des e-mails en retard… et cette fameuse phrase que tu as lancée ce matin à ton boss. Sur le moment, ça te paraissait banal, mais à en juger par son regard, t’aurais peut-être mieux fait de te mordre la langue.

Bienvenue dans le monde impitoyable du bureau, où chaque mot peut être une promotion ou un aller simple vers les limbes administratifs.

Pour éviter de jouer à la roulette russe avec ton avenir, voici 7 phrases qui sonnent comme du sabotage professionnel. Et, parce qu’on est là pour t’aider, on te donne aussi la version « pro et classe » à dire à la place.

« Je suis toujours disponible »

Ce que ça sous-entend : Je n’ai pas de vie. Servez-vous de moi.
À dire plutôt : « Pendant les horaires de travail, je suis pleinement engagé et réactif. »
Pourquoi : Parce que la productivité, ce n’est pas se sacrifier, c’est savoir gérer.

« Ce n’est pas mon boulot »

Ce que ça sous-entend : Débrouillez-vous, tant que ce n’est pas dans ma fiche de poste.
À dire plutôt : « Ce n’est pas mon domaine habituel, mais je peux m’en occuper si nécessaire. »
Pourquoi : La flexibilité est une preuve de maturité, pas une faiblesse.

« C’est injuste »

Ce que ça sous-entend : J’ai envie de crier et de taper du pied.
À dire plutôt : « Pouvez-vous m’expliquer la logique derrière cette décision ? J’aimerais comprendre. »
Pourquoi : Parce qu’un homme intelligent cherche des solutions, pas des drames.

« Tout va bien », alors que tu es en feu à l’intérieur

Ce que ça sous-entend : Je suis un volcan prêt à exploser.
À dire plutôt : « Je gère, mais je ne dirais pas non à un conseil pour être plus efficace. »
Pourquoi : Reconnaître les difficultés, c’est prendre le contrôle — pas perdre la face.

« J’ai toujours fait comme ça »

Ce que ça sous-entend : Je suis bloqué en 2010, voire 1998.
À dire plutôt : « Cette méthode fonctionne pour moi, mais je suis ouvert à d’autres approches. »
Pourquoi : Parce que la croissance passe par l’adaptabilité, pas par l’entêtement.

« Pourquoi je n’ai pas eu de promotion ? Vous ne voyez pas tout ce que je fais ? »

Ce que ça sous-entend : La télépathie est ma stratégie RH.
À dire plutôt : « J’aimerais évoluer. Que puis-je améliorer pour aller dans ce sens ? »
Pourquoi : Les patrons aiment l’ambition posée, pas les caprices mal déguisés.

« Débrouillez-vous »

Ce que ça sous-entend : Je suis largué, faites à ma place.
À dire plutôt : « J’ai trois propositions pour résoudre le problème — laquelle vous paraît la plus pertinente ? »
Pourquoi : Parce que l’initiative est l’arme secrète des mecs qui montent.