Marketing Féminin

Dans le monde du marketing, différentes stratégies sont utilisées pour attirer l'attention et construire une image. Mais comment ces principes peuvent-ils être appliqués au comportement féminin dans les contextes sociaux ? Cet article explore comment les différentes formes de comportement féminin peuvent être interprétées comme des stratégies marketing et comment les hommes perçoivent ces « démarches marketing »

Dans le monde du marketing, différentes stratégies sont utilisées pour attirer l'attention et construire une image. Mais comment ces principes peuvent-ils être appliqués au comportement féminin dans les contextes sociaux ? Cet article explore comment les différentes formes de comportement féminin peuvent être interprétées comme des stratégies marketing et comment les hommes perçoivent ces « démarches marketing »

Tu vois un homme dans la rue. Tu t'approches de lui et dis : « Je cuisine très bien. »
— C'est du marketing direct.

Tu es au musée avec des amis et vois un homme. Un de tes amis s'approche de lui et dit : « Elle cuisine très bien. »
— C'est de la publicité.

Dans un restaurant, tu vois un homme. Tu te lèves, ajustes ta robe et t'approches de lui pour lui servir une boisson. Tu dis : « Permets-moi, » et tu te rapproches pour ajuster sa cravate tout en touchant sa main et en disant : « Au fait, je cuisine aussi très bien. »
— C'est des relations publiques.

À l'université, tu vois un garçon. En utilisant des tactiques astucieuses, tu crées une dispute entre les filles présentes tout en restant en retrait. Lorsque tout le monde se bat, tu dis : « Partons d'ici ! Les filles ne devraient pas se battre ; elles devraient apprendre à cuisiner comme moi. »
— C'est de la publicité noire.

Dans un café, tu vois un homme. Il vient vers toi et dit : « J'ai entendu dire que tu cuisines bien. »
— C'est une marque reconnaissable.

Tu vas à un événement avec beaucoup de jolies filles. Tu ajustes tes cheveux et dis : « Je cuisine bien et je ne veux rien en retour. »
— C'est du dumping.

Tu vas au théâtre et dis : « Je fais un excellent gâteau, et tu seras la troisième personne à le goûter, » et tu sors un récipient.
— C'est du marketing de réseau.

Tu n'es pas allée à l'événement, mais tout le monde parle de la qualité de ta cuisine.
— C'est une marque établie.

Tu vas au musée avec des amis et vois un homme. Tu t'approches de lui et dis que tu t'appelles Svetka. Tout le monde sait à quel point Svetka cuisine bien. Svetka sait que tu t'es fait passer pour elle. Pour cela, Svetka reçoit une barre de chocolat.
— C'est une franchise.

Tu vas au restaurant avec des amies et vois le propriétaire du restaurant. Chacune d'entre vous parle de ses talents culinaires et de ce qu'elle veut en retour.
— C'est un appel d'offres.

Tu vas à un bal et ton amie distribue déjà des flyers décrivant à quel point tu cuisines bien.
— C'est une diffusion de communiqués de presse.

Tu vas à une fête et annonces au micro que tu fais un excellent canard. Quelques jours plus tard, tous les invités de la fête se retrouvent à la clinique.
— Ce sont des victimes de publicité mensongère.

Tu vas à une fête du Nouvel An et dis à cinq garçons présents que si chacun d'eux dit à cinq de leurs amis que tu cuisines bien, et qu'eux-mêmes en disent cinq autres, etc., tu cuisineras pour eux. Lorsque la moitié du pays attend tes plats avec impatience, tu les abandones tous et disparais.
— C'est un schéma de Ponzi.

Tu vas au restaurant et affirmes que tu cuisines bien. Mais à celui qui te propose du chocolat suisse et du champagne français, tu donnes un gâteau "Napoléon". À celui qui a du "champagne soviétique" et une barre de chocolat "Alenka", tu lui donnes deux "Napoléons" ou peut-être deux "Napoléons" et un "Tiramisu".
— C'est du protectionnisme.

Tu vas à une fête avec Svetka (tu cuisines bien, elle cuisine bien)... Tout le monde doit choisir entre vous deux...
— C'est un partenariat stratégique.

Tu empruntes un batteur et des ingrédients à une amie, promettant de lui donner chaque deuxième barre de chocolat que tu gagneras pendant la soirée...
— C'est une société anonyme.

Tu n'es pas attrayante, et personne ne veut te voir... Mais ton père paie pour le banquet... Une foule se rassemble, et tout le monde est prêt à aimer tes donuts...
— Ce sont des subventions gouvernementales.

Tu arrives à la fête, ne danses pas, ne ris pas et ignores tout le monde, te lavant les mains dans le punch et crachant sur les bougies du gâteau... Tout le monde autour te regarde avec désir...
— C'est la domination du marché.

Tu es végétarienne, mais tu dois participer à une dégustation de viande...
— C'est une politique d'entreprise.

Tout le monde sait combien tu cuisines bien... Et ensuite, tu répands la rumeur que tu regardes des combats de MMA...
— C'est l'expansion du marché.

Tu vas dans un café, vois un homme et lui dis combien tu cuisines bien et que tu as besoin de 2 tasses de café et 2 tablettes de chocolat. Tu vas dans ton restaurant, mais tu dis que tu es fatiguée et que ta copine cuisinera à ta place. Pour cela, tu lui donnes une tasse de café et une tablette de chocolat.
— C'est l'externalisation.

Tu vas à l'université, vois un étudiant et lui dis : « Viens dans notre boulangerie ; nous faisons des donuts excellents. » Il répond : « Je ne peux pas, je n'aime pas les sucreries. »
— C'est un mauvais public cible.

Tu prépares des tablettes de chocolat et du café, puis donnes le bénéfice à une amie, qui apporte tout chez toi, et toi et tes amis buvez du café et mangez...
— C'est le blanchiment d'argent.

Tu vas au théâtre, te présentant comme belle, confiante et intelligente... Tu sais que tu cuisines bien... Prête à offrir tes donuts à chaque homme... Mais tous les hommes partent avec d'autres filles cherchant de l'argent.
— C'est le marché.