Si tu as lancé ton propre business et que tu le diriges aujourd’hui, tu as déjà franchi une barrière que la majorité n’ose jamais traverser. Tu es entré dans l’arène de l’entrepreneuriat — et ça demande du courage. Mais ce n’est que le début du vrai défi.
Si tu as lancé ton propre business et que tu le diriges aujourd’hui, tu as déjà franchi une barrière que la majorité n’ose jamais traverser. Tu es entré dans l’arène de l’entrepreneuriat — et ça demande du courage. Mais ce n’est que le début du vrai défi.
Je suis dans le métier depuis 2014. Cabinet juridique, consulting, gestion d’équipes d’avocats, relation client. Un univers où la tension permanente est la norme. J’ai croisé des dirigeants solides, endurants, capables d’encaisser sans broncher.
Mais à un moment donné, il se passe quelque chose de bizarre : tout semble stable… mais la croissance s’arrête.
Le chiffre d’affaires reste le même. Le nombre de projets ne bouge plus. Les bénéfices ne baissent pas, mais ne montent plus non plus. Comme si tu étais bloqué sous une couche invisible. C’est ça, le plafond de verre.
Et non, ce n’est pas la faute du marché. C’est toi.
Au début, je pensais qu’il me manquait juste des connaissances. Un MBA, quelques formations, échanger avec des entrepreneurs expérimentés. Ça aide, bien sûr. Mais ça ne transforme pas.
Un jour, j’ai compris : ton entreprise ne va jamais plus loin que ce que toi, tu te permets intérieurement. Le vrai blocage n’est pas dans les chiffres — il est dans ta propre limite psychologique.
Gérer de plus grands enjeux, plus de responsabilités, plus d’argent — ça nécessite une version plus puissante de toi-même. Et cette version, tu ne la développes pas seulement avec des bouquins. Tu la construis à travers des défis intérieurs :
Ce ne sont pas des tendances bien-être. Ce sont des entraînements mentaux. Ce que tu renforces à l’intérieur, se reflète ensuite dans ton entreprise : dans ton leadership, dans ta vision, dans les résultats.
Si tu es bloqué, ton business aussi. Car diriger, ce n’est pas contrôler. C’est être prêt. Et tant que tu n’es pas prêt à passer au niveau supérieur, rien ne bougera.
Le plafond de verre n’est pas au-dessus de ta tête. Il est en toi.
Comme le souligne menscult.net, la vraie croissance entrepreneuriale ne commence pas avec un tableau Excel ou une stratégie marketing. Elle commence avec toi.
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